Une récente étude américaine démontre que 41% des citoyens américains adultes ont dû s’endetter afin de recevoir des services médicaux.
Pire encore. 62% de toutes les faillites personnelles aux États-Unis seraient reliées aux coûts de santé.
Près de 72 millions d’américains ont pigé dans leurs épargnes et carrément contracté des emprunts afin de pallier aux prix excessifs de l’industrie médicale états-unienne.
Et la tendance ne fait pas que se maintenir, mais s’accentue de plus en plus. En fait, en 2006, seulement 34% des américains admettaient avoir des problèmes de financement concernant leurs soins médicaux. Il s’agit donc d’une hausse moyenne de 3.5% par année (de 2006 à 2008 ) qui contribue à accentuer la pauvreté générale car les personnes touchées se doivent de couper dans l’alimentation et les besoins de base afin de régler leurs factures médicales.
Le plus surprenant est que 61% des personnes endettées détiennent pourtant des assurances privées. Exactement ce qu’évoquait Michael Moore dans son film Sicko sur la piètre qualité de la protection médicale privée américaine.
On peut bien tenter de mettre en doute le rôle négatif du privé dans le domaine de la santé, mais ces dernières nouvelles confirment qu’une administration privée sans barèmes n’est pas viable dans une distribution juste et équitable des soins.
Au Québec, on essai de nous vendre le même modèle sans parler de l’autre coté de la médaille d’une privatisation à l’américaine. On refilera ainsi la charge financière de leur propre santé à la classe moyenne et aux plus démunis sans considération des coûts sociaux qui y sont associés.
Voir aussi: « Le privé n’est pas le loup dans la bergerie » et La santé n’est pas une marchandise
il faut éviter les dérives du système privé US et t du système public canadien pour ne faire aucun jaloux. Bien sur le système US est un cauchemar pour les patients et rémunère encore mieux les médecins & co qu’ici, complètement dérégulé mais pas de quoi se féliciter du modèle public canadien quand on le compare à l’Europe. Élève bon dernier je dirai avec l’Angleterre tant pour les délais d’attente et le droit des patients. Il faut choisir payer avec sa santé ou ses économies. il faut une refonte du système et objectif avec une population vieillissante. Les retraités devront revoir leur budget loisir et payer davantage leurs soins de santé. La pyramide des âges bouge et ne permet plus ce que le baby boum a permis, sans compter la dette actuelle. Le reste est de la pure démagogie : faire plus avec autant d’argent. L’efficacité a ses limites même si les gâchis existent c’est clair !
Un commentaire de Jean-Pierre Plourde;
Il doit bien exister une ligne médiane entre privé et public qui permettrait aux citoyens de comprendre que tout service a un coût et que rien n’est gratuit.
Je suis d’avis que, sauf s’il s’agit d’enfants de moins de 10 ans, tout citoyen qui se présente dans un hopital ou à l’urgence pour un traitement ne requérant pas de suivit devrait payer un forfait de, par exemple $25.00. La personne sur l’assistance sociale serait autorisée à demander le remboursement de ce frais.
L’obligation du geste de payer devrait être universel à tous les patients.
Les abus du système et les listes d’attentes deviendraient vite une chose du passé;
Les premiers $5,000 du coût d’une opération devrait-être assumer par le patient. Une assurance économique privée devrait-être obligatoire pour couvrir ce montant, pour les assistés sociaux cette carte pourrait être payée par l’État.
Le coût supérieure à $5,000 de toute opération serait lui, assumé entièrement par l’État.
Les résultats seraient bénéfiques:
On irait chercher la conscience sociale qui manque à tous les Québécois;
Le système de santé verrait baisser son déficit et pourrait même voir se présenter des surplus;
Le privé serait mis à profits comme intermédiaire entre l’hopital et le patient.
Le citoyen demeurerait protéger contre le hasard d’une maladie couteuse en soin, comme un cancer ou une opération à coeur ouvert!
Je ne prétend pas détenir la solution. Je pense qu’on s’en va vers ce genre de compromis…
Jean-Pierre Plourde,
saglac@gmail.com
saglacweb.blogspot.com
@Jean-Pierre Plourde
Hum, une assurance obligatoire pour tous?
Mais si on gagne près du salaire minimum on a vraiment pas les moyens de se payer une assurance privée convenable. Ce serait un peu comme le système américain alors. On s’endetterait pour la santé.
Pour le ticket modérateur, je suis d’accord, mais il faudrait qu’il soit aussi remboursé pour les faibles revenus, pas seulement pour les prestataires de l’aide sociale.
> Les premiers $5,000 du coût d’une opération devrait-être assumer par le patient.
Whaoooo!
C’est pas ma ligne médiane, tout au plus $1000.
les médecins généralistes canadiens gagnent au minimum le double d’un ingénieur canadien à nombre d’études identiques. il faut en finir avec la pénurie voulue avec un budget provincial pas suffisant et un système de santé « »gratuit » » pour réduire par 2 leur salaire avec la concurrence du privé et des règles du politique ! Mais c’est pas pour demain. Les medecins en contre partie auront moins de stress et davantage de temps par partient pour faire du bon travail d’ou une plus grande satisfaction personnelle et plus besoin de d’autant de vigiles dans les hopitaux.
@ Paul2Canada
« mais pas de quoi se féliciter du modèle public canadien quand on le compare à l’Europe. »
Pénurie de médecins et de personnel dans ce secteur, et les autres d’ailleurs. Sinon, un pays qui a beaucoup moins de ressources et de richesses peut lui, déservir la totalité de sa population, ainsi que celles des ses voisins alliés et non-alliés. Cuba a envoyé plus de 30 000 médecins au Venezuela, sans pour autant faire attendre sa population dans les sales d’urgence.
Bref, ce n’est pas le public le problème, mais bien la gestion de ce réseau par des saboteurs libéraux et conservateurs qui, au dépens de la population québécoise et de ses choix idéologiques antécédents, préfèrent enrichir les minorités parasitaires non-méritantes et non-élues bourgeoises. À chacun ses priorités!
Les États-Unis, par exemple, pourraient financer amplement un système de santé universel, et on se le confirme en regardant les milliers de milliards investis dans l’armement. Or, ils préfèrent, les élitistes, enrichir les riches d’avantage que de soigner leur population! Comme je disais, La Havane a ses priorités, Washington a les siennes. À vous de juger…
Mais certes, si nous comparons le système britannique et même, celui de la France, le Canada fait pitié! Ils ont même les dentistes, eux!
« La pyramide des âges bouge et ne permet plus ce que le baby boum a permis, sans compter la dette actuelle. Le reste est de la pure démagogie : faire plus avec autant d’argent. L’efficacité a ses limites même si les gâchis existent c’est clair ! »
Cela dit, le privé coûte plus cher et n’améliore en rien l’accessibilité, bien au contraire. Ce n’est pas le modèle public le problème, mais bien le capitaine du bateau qui se tire des torpilles à lui-même afin de proposer une solution dite « magique », qui n’en n’est pas une.
Ajouter un parasite dans le système, n’améliore en rien le coût de la santé. Le bourgeois minoritaire et parasitaire est inutile dans la société. C’est un simple parasite, qui fait obstacle entre le travailleur et son dû.
Si les cubains, dans un pays du tiers-monde, bloqué par Washington en plus, attaqué par des terroristes d’extrême droite de Miami, avec pour seule source naturelle peu payante, du sucre, réussissent à faire fonctionner leur système de santé, je ne vois pas pourquoi je regarderais un modèle qui me propose un parasite coûteux et inutile en bonus. Absurde…
Et en passant, le système de santé à Toronto est public et très bien géré. Le tout va bien et ne se compare pas avec le Québec. Pourquoi ça fonctionne là où les gens y croient et que ça ne fonctionne pas là où les gens croient au privé? Sabotage, pur et simple, donc trahison.
@ Jean-Pierre Plourde
« Je suis d’avis que, sauf s’il s’agit d’enfants de moins de 10 ans, tout citoyen qui se présente dans un hopital ou à l’urgence pour un traitement ne requérant pas de suivit devrait payer un forfait de, par exemple $25.00. La personne sur l’assistance sociale serait autorisée à demander le remboursement de ce frais. »
Je suis d’avis que je paie déjà mon système de santé. Si vous êtes d’avis que nous devons y ajouter du financement de par les contribuables, via les taxes ou les impôts, je suis d’accord. Sinon, je suis contre. On paie déjà…
Et entre le privé et le public, la seule différence est que le privé permet à un individu, ou à un groupe d’individus, d’exploiter la misère humaine et d’exploiter également, le labeur des médecins employés. Or, ce parasite bourgeois minoritaire est inutile et ne sert qu’à faire disparaître le Ô Capital qui aurait pourtant, dans un système public, servi à financer, encore, le système de santé. C’est une perte de temps si vous cherchez à légitimer l’existence du bourgeois, il ne sert à rien d’autre que de parasiter une faille du système.
Pourquoi devrais-je m’encombrer d’un parasite inutile, alors que les travailleurs sont capables de gérer eux-même leur travail?
« Une assurance économique privée devrait-être obligatoire pour couvrir ce montant, pour les assistés sociaux cette carte pourrait être payée par l’État. »
Et voilà! Qu’est-ce que je disais? Jean-Pierre Plourde essai de justifier l’existence de parasites inutiles minoritaires qui exploitent le labeur d’une majorité prolétaire. N’importe quoi. De plus, le privé coûte plus cher et n’améliore en rien l’accessibilité.
Regardons donc, pour une fois, ce que font les socialistes de Cuba. Ils performent, alors pourquoi ne pas regarder là-bas?
Parce qu’il y a des types comme Jean-Pierre pour défendre les bourgeois minoritaires et parasitaires, non-élus et inutiles.
Vous pouvez faire payer plus cher, les mieux nantis, et arriver au même résultats « bénéfiques »! Si ces gens sont prêts à payer plus, qu’ils paient plus, mais pour tout le monde!
Dans votre logique, c’est comme s’il y avait des salaires plutôt égaux au Québec, relativement moyens même. Or, ce n’est pas le cas et la hausse du coût de la vie n’améliore en rien cette situation devenue chronique dans toutes sociétés capitalistes.
« Le privé serait mis à profits comme intermédiaire entre l’hopital et le patient. »
Pourquoi s’acharner à trouver un nouvel endroit à exploiter pour ces parasites minoritaires non-élus, non-méritants et inutiles que sont les bourgeois? Ça relève quasiment du fanatisme rendu là.
Et qu’est-ce que je disais déjà? Ah oui! Intermédiaire! Un tampon entre le besoin d’être soigné et le fait d’être soigné, wow! Qui a besoin d’un tel parasite, de plus, plus coûteux, et inutile, dans notre société? Personne, sauf les mieux nantis, les opportunistes espérant atteindre le titre de bourgeois parasitaire et minoritaire, ou quelconque aliéné qui n’a rien compris au principe public/privé.
(Note pour les imbéciles:
Privé = la poche d’un individu X
Public = notre poche!)
@ Jimmy
« Pour le ticket modérateur, je suis d’accord, mais il faudrait qu’il soit aussi remboursé pour les faibles revenus, pas seulement pour les prestataires de l’aide sociale. »
Mais les cubains, eux, envoient des médecins à la maison, question d’éviter débordements dans les urgences. Cela dit, on pourrait justement, pénaliser celui qui fait toujours appel pour rien. Mais je suis contre le ticket modérateur qui punirait d’ailleurs, celui qui croit avoir la bactérie mangeuse de chair parce que ça lui démangerait depuis quelques jours au même endroit sur le corps. On pénaliserait ainsi, quelqu’un qui ne le mérite pas.
C’est quasiment aussi injuste que la peine de mort appliquée sur un innocent, puisqu’il peut en résoudre de la mort d’un patient.
Et ce n’est qu’un exemple.
Toutefois, celui ou celle qui entrave au travail du service de la santé, doit certainement payer pour ses fautes. Maintenant, il suffit de prouver que cette personne X, le fait non par maladie mentale, ou quelconque autre problème de conscience.
@ Paul2Canada
« Whaoooo!
C’est pas ma ligne médiane, tout au plus $1000. »
Ce n’est peut-être pas votre ligne médiane, mais en travaillant, ma femme et moi, nous ne pouvons pas non plus atteindre VOTRE ligne médiane. $1000 pour nous? Non merci, sinon je coupe où, puisque je ne consomme pratiquement pas?
Si les cubains ont droit à un système de santé public et fonctionnel, malgré leur pauvreté, je n’en demande pas moins! Vive le socialisme!
Merci pour ces chiffres !
72 millions, c’est… énorme !
Bonne continuation
David de conseil santé
Le 29 août 2008.
Un commentaire de Jean-Pierre Plourde:
@ Paul2Canada, a dit:
« Parce qu’il y a des types comme Jean-Pierre pour défendre les bourgeois minoritaires et parasitaires, non-élus et inutiles »
Je ne suis pas d’accord avec vous, vous placez dans le même panier les entreprises de moins de 200 employés sur la même tablette que certaines multi-nationales qui couchent dans le même lit que nos bons gouvernements élus par vous et moi, la corruption se situe là ou le citoyen moyen refuse de voir et de s’informer.
Le traité de l’approche commune, par exemple, va faire disparaître nos acquis de la révolution tranquille… même l’Hydro-Québec va y passer, j’en traite abondamment sur mon blogue.
Combien, parmi vous, savez que M. Charest a choisis un président d’Alcan pour représenter notre peuple dans les négociations dite de l’approche commune, voir le texte, Conflits d’intérêts sur saglacweb.blogspot.com.
Cette Compagnie à des intérêts sur les mêmes territoires que nous, elle exploite déjà plusieurs barrages. Les dés pipés font en sorte qu’on va nous envoyé paître lorsqu’on osera demander des redevances, on va simplement nous envoyer lire ce traité que personne ne connait et signé par des élus qui prennent à coeur notre disparition.
Nous assistons dans l’indifférence générale à la deuxième déportation massive de « Canadiens », Québécois ceux-là, par expropriation au lieu de bateaux comme ce fut le cas des Acadiens, cela avait marché pour le Labrador en 1949, alors on remet cela. La commission TB nous demande même de nous effacer, allumez quelqu’un!
Les principaux créateurs de richesses, d’innovations et les plus importants percepteurs des impôts qui financent tout le système Québécois sont les petites et moyennes entreprises de moins de 200 employés et les entrepreneurs.
Il y a des imbéciles partout et certains de nos semblables comme les gens de Norbourg nous ont pillés.
Pour un abuseur, il y en a des milliers d’autres qui nous crée des emplois et qui n’attendent rien des gouvernements. Arrêtons de se regarder le nombril, l’avenir réside dans l’action.
Ils sont loin d’être inutiles croyez-moi, il faut être drôlement courageux et culotté pour risquer tous ses avoir pour oser créer de l’emploi à ses semblable, il est faux de penser que les banques vont les aider, elles vont prêter seulement si tu donne ta maison personnelle en garantie.
En cas de flop, tu perds tout et tu n’as même pas droit au chômage.
L’avantage de l’entrepreneur pour une société, c’est sa motivation de réussir, et, chemin fesant, il créera une multitude d’emplois dont vous et moi profitons tous les jours. Les fonctionnaires en sont les premiers bénéficiaires et pourtant il ne sont pas tendre avec ces derniers, croyez-moi!
Le capitalisme, le socialisme et le communisme pure et dure ne mêne nulle part.
Seul un amalgame de l’ensemble de ce qu’il y a de bon dans chacun de ces systèmes est viable, j’en suis absolument convaincu.
Donnez un désert à gérer à des fonctionnaires et ils vont manqué de sable;
Faite géré l’état par des communismes et tous les camarade citoyens vons devenir les esclaves d’une petite minorité. Les citoyens perdront le droit de parole.
Le communisme c’est du capitalisme poussé à son paroxisme. Le communisme ne possède qu’une seule bourgeoisie, celle du parti alors que le capitalisme possède une multitude de bourgeoisies spécialisées dont une partie couche dans le même lit que celui de l’État.
Une bourgeoisie ne peut exister que si le peuple y consent et y tire son bénéfice, un peuple ignorant de son histoire et désinformé est appelé à disparaître. C’est ce qui va arrivé aux Québécois à court terme avec tous les regrets, les grincements et les troubles sociaux qui s’annoncent. La majorité va constaté bientôt qu’elle a été arnaquée par ses élus, sans égard aux partis, qu’ils soient libéral, conservateur ou péquiste.
La politique va rester sale aussi longtemps que les citoyens ne s’en mêleront pas. Pour s’en mêler, il faut savoir qui l’on est et d’où l’on vient?
Je ne saurais trop vous conseiller de vous procurer le premier tome du livre de Normand Lester, Le livre noir du Canada anglais, c’est un très bon départ pour se connaître, environ $15 en librairie. J’en ai même trouvé un au marché au puce à Québec pour 5$, si vous trouvez la collection des trois tomes, sautez dessus, c’est une mine d’informations qui devraientt être enseignées dans nos écoles car c’est très bien documenté.
Il nous faudrait un nouveau parti représenté par des gens instruit de notre histoire et capable de reconnaitre l’arnaque lorsqu’elle se présente.
On a tous ensemble un coup de bare à donner sans attendre, oubliez les partis politiques, ça doit venir des citoyens cette fois.
Jean-Pierre Plourde,
saglac@gmail.com
saglacweb.blogspot.com
saglacweb.com
@ Jean-Pierre Plourde
« Les principaux créateurs de richesses, d’innovations et les plus importants percepteurs des impôts qui financent tout le système Québécois sont les petites et moyennes entreprises de moins de 200 employés et les entrepreneurs. »
Ce sont les employés, non les employeurs, qui bâtissent le Québec. Les entrepreneurs y sont certes pour quelque chose, mais par leur financement. Le tout pourrait être financé par les ouvriers eux-même, sans que qui que ce soit ne les exploite. Oui aux entrepreneurs, non aux bourgeois. Les richesses sont créées par le labeur des prolétaires majoritaires qui ajoutent la PLUS VALUE, pas par les bourgeois qui n,ont comme mérite, que de posséder les machines et le matériel nécessaire. Comme j’ai dit, tout ce matériel, les prolétaires peuvent se le payer avec l’argent qu’ils ont en banque.
« Pour un abuseur, il y en a des milliers d’autres qui nous crée des emplois et qui n’attendent rien des gouvernements. Arrêtons de se regarder le nombril, l’avenir réside dans l’action. »
C’est vraiment n’importe quoi. Vous n’avez toujours pas justifié l’existence du parasite bourgeois, lequel est remplaçable par un panier en n’importe quoi, n’importe quand. Il ne sert à rien ce bourgeois et rien ne vous permet d’expliquer l’abondance de Capital qu’il possède parfois à ses débuts. Ça peut venir d’une antécédente exploitation, d’un héritage ou d’une loterie, et encore, il y a des passeurs de drogue qui blanchissent leur fric dans une entreprise, etc..
Bref, aucune de ces explications n’approche le mérite. Comme si les autres, les employés, les prolétaires, les majoritaires, ne travaillent point et que les seuls méritants étaient les « investisseurs ». Foutaise…
« Ils sont loin d’être inutiles croyez-moi, il faut être drôlement courageux et culotté pour risquer tous ses avoir pour oser créer de l’emploi à ses semblable, »
Il faut aussi l’être, culotté, pour travailler pour eux. On ne sait jamais quand ils feront faillite. Si le bourgeois minoritaire et parasitaire inutile se plante, ce sont tous ses employés, donc les prolétaires, qui se plantent aussi. Vous fermez donc les yeux sur ceux qui perdent leurs emplois quand un bourgeois fait un mauvais geste, et pourtant, ils perdent tout, parfois, eux aussi, sans avoir le mérite de leur labeur en plus.
Il est inutile ce bourgeois, il ne sert à rien d’autre que de parasiter un endroit de plus dans notre société. Nous pouvons le remplacer par un prolétaire ayant les mêmes aptitudes à la bonne gestion d’une entreprise et les fonds peuvent venir des fonds amassés depuis des années dans diverses caisses des prolétaires (des milliards).
Ailleurs, comme en Argentine, certains ouvriers ont du travailler sans bourgeois et ils l’ont fait. Non seulement sont-ils aujourd’hui maîtres de l’usine, mais ils récoltent en plus le fruit de leur labeur sans qu’aucun parasite ne les exploite. Et devinez quoi! La productivité a augmenté! Et vous sortez du même coup de l’abrutissement, un tas de prolétaires auparavant voués au travail manuel seulement.
Je vous le répète, ce bourgeois minoritaire, parasitaire, inutile et non-élu, ne sert absolument à rien, sauf dans le système capitaliste qui vénère ces minorités parasitaires à ces seules fins, au point d’y condamner l’humanité de par sa consommation non-viable associée. Faut-il que je vous rappelle que votre système capitaliste, qui ne vise que les profits au bout du compte, ceux d’une minorité parasitaire non-élue et inutile en plus, nécessiterait plusieurs planètes Terre de ressources si le modèle nord-américain était globalisé? Qui donc ici, est utopique? Pelletage de nuages…
« il est faux de penser que les banques vont les aider, elles vont prêter seulement si tu donne ta maison personnelle en garantie. »
Vous m’en parlez comme si c’était normal en plus. C’.est comme la jungle au fond, c’est ce que vous me dites? Ce qui est bien, c’est que ça se nationalise des banques, merci du tuyau quand même et bravo à Hugo Chavez pour ses récentes nationalisations des services.
Cela n’a de plus justifiée aucunement l’exploitation des prolétaires majoritaires par la minorité parasitaire non-élue et inutile bourgeoise, vous n’avez que répété vos affirmations gratuites de leur soit-disant divin mérite d’exploiter le labeur d’autrui, même si ces derniers n’en veulent pas et qu’ils sont majoritaires. Qui donc voterait pour se faire exploiter, dites-moi? Faisons un vrai débat de fond en fait. Qu’allez-vous donc trouver pour expliquer l’exploitation de 200 employés par un ou deux parasites au sommet (qui sont remplaçables par des prolétaires aptes à remplir ces fonctions)?
Pourquoi vouloir ajouter un microbe qui prend sans raison, les fruits du labeur d’autrui? C’est rien ça, y a encore des monarchistes sur Terre.
« En cas de flop, tu perds tout et tu n’as même pas droit au chômage. »
C’est quoi du chômage, si vous n’avez par exemple aucune qualification et qu’à votre âge, disons 59 ans, vous n’envisagez pas aller vous chercher des diplômes et tout recommencer. Vous croyez encore, malgré les faits, que seuls les bourgeois se risquent dans la vie? Travailler pour GM, c’était risqué, sans pourtant que ce soit flagrant. Laissez tomber le mythe du risque, il est révolu.
« L’avantage de l’entrepreneur pour une société, c’est sa motivation de réussir, et, chemin fesant, il créera une multitude d’emplois dont vous et moi profitons tous les jours. »
Tout est une question de conditionnement. Les cubains seraient fiers d’avoir leur nom sur une université par exemple. Et ces changements se font sur des centaines d’années parfois. Le conditionnement crée nos valeurs. Les publicités, nos tendances. Etc..
Si vous augmentez les gains du bourgeois sans cesse, ses demandes seront également plus grandes et disgracieuses envers les prolétaires majoritaires, exploités. Nous n’avons pas élu ces parasites et je crois qu’un modèle démocratique où les profits seraient redirigées vers la base seraient le bienvenue.
« Le capitalisme, le socialisme et le communisme pure et dure ne mêne nulle part. »
Vous ne le savez pas, moi non plus. Vous ne connaissez pas l’avenir, vous n’êtes pas devin.
« Seul un amalgame de l’ensemble de ce qu’il y a de bon dans chacun de ces systèmes est viable, j’en suis absolument convaincu. »
Je ne vois rien de bon dans un système où la majorité est dominée et exploitée par une
« Donnez un désert à gérer à des fonctionnaires et ils vont manqué de sable;
Faite géré l’état par des communismes et tous les camarade citoyens vons devenir les esclaves d’une petite minorité. Les citoyens perdront le droit de parole. »
Qu’est-ce que c’est que c’est que ça? Démagogie, ignorance crasse… Ciboire!
Le communisme, c’est l’absence de Staline en partant. Le communisme, c’est les « soviets » (conseils populaires) et ce qui suppose donc que l’État n’est plus. Que le pouvoir est à la majorité, la dictature du prolétariat, du peuple. le communisme n’a tout simplement jamais été atteint et le stalinisme n’en avait pas le moindre centime. Dans un système communiste, il n’y a plus de chef suprême qui décide pour tout le monde, ce sont les soviets qui gèrent, et ces soviets, ils sont les élus du peuple. Ils sont également révocables en tout temps.
Alors cessez de prétendre des choses sur des sujets que vous ne connaissez visiblement pas.
Le capitalisme, c’est exactement ce que vous avez décri, c’est la richesse concentrée dans les poches d’une minorité parasitaire non élue et inutile surtout.
« Le communisme ne possède qu’une seule bourgeoisie, celle du parti alors que le capitalisme possède une multitude de bourgeoisies spécialisées dont une partie couche dans le même lit que celui de l’État. »
Vous confondez tout, tout, tout! Le communisme, c’est justement l’absence de cet État, et de ce gouvernement central. Vous parlez premièrement du socialisme, et c’est bien avant le communisme. Vous pointez des impostures. Staline par exemple, a exterminé ses opposants tel un vrai bon tueur de masse et a bien entendu, détruit les « soviets ». Imposture, comme Kim-Jong-Il, comme bien d’autres. Le communisme, c’est aussi l’abolition de la classe bourgeoise ultime, c’est quand c’est fait, quand la répression a cessé envers cette minorité parasitaire bourgeoise non-élue, inutile et coûteuse en plus de cela.
L’État aussi est aboli dans le communisme, sachez-le et retenez-le. J’en ai marre de reprendre des types comme vous, qui disent tout connaître. Surtout s’ils se mettent à décrire le communisme en plus…
« Une bourgeoisie ne peut exister que si le peuple y consent et y tire son bénéfice, un peuple ignorant de son histoire et désinformé est appelé à disparaître. »
Vous êtes vous-même dés-informé et j’espère que les dés-informés s’informeront bientôt… Votre analyse du communisme nous en dit grandement sur vous.
« C’est ce qui va arrivé aux Québécois à court terme avec tous les regrets, les grincements et les troubles sociaux qui s’annoncent. La majorité va constaté bientôt qu’elle a été arnaquée par ses élus, sans égard aux partis, qu’ils soient libéral, conservateur ou péquiste. »
Clair et net, parce que ces trois partis sont des regroupements de concédés prêts à vendre leur mère pour enrichir un riche dans ce beau modèle de néo-libéralisme qui ne tient compte que d’une minorité parasitaire exploitant la majorité humaine.
« La politique va rester sale aussi longtemps que les citoyens ne s’en mêleront pas. Pour s’en mêler, il faut savoir qui l’on est et d’où l’on vient?
Je ne saurais trop vous conseiller de vous procurer le premier tome du livre de Normand Lester, Le livre noir du Canada anglais, c’est un très bon départ pour se connaître, environ $15 en librairie. »
Je vous rends la pareille, vous devriez lire, De l’État, l’État et la révolution, Impérialisme, stade suprême du capitalisme par Lénine, le manifeste du parti communiste par Engels et Marx, et bien d’autre livres qui restent encore d’actualité aujourd’hui.
http://www.universite-ouvriere.org/
Votre nationalisme en prendrait un coup, mais vous êtes capable, j’en suis sûr.
(Après avoir lu ces seuls livres que je vous ai cité, osez comparer l’époque de Staline avec vos lectures. Vous comprendrez ce que je veux dire.)
Les soviets sont des conseils populaires régionaux où les élus sont révocables en tout temps. Y a pas plus « citoyen » que ça. C’est ce que ne tolérait pas Staline, il a ensuite assis son pouvoir sanguinaire. Vous connaissez la suite… Par contre, les médias ont usé des prétentions de Staline se disant communiste. C’est payant pour le capitalisme, stratégiquement parlant.
Le marxisme devrait également être enseigné dans les écoles, afin d’éviter que les prolétaires n’acceptent d’être exploités par une minorité parasitaire bourgeoise non-élue et inutile. Conditionnement…
« Il nous faudrait un nouveau parti représenté par des gens instruit de notre histoire et capable de reconnaitre l’arnaque lorsqu’elle se présente. »
Joignez-vous au Parti communiste du Québec et à Québec-solidaire alors! Arrêtez de perdre votre temps avec ces partis qui proposent ni plus, ni moins, notre exploitation massive.
« On a tous ensemble un coup de bare à donner sans attendre, oubliez les partis politiques, ça doit venir des citoyens cette fois. »
Bien dit, mais le parti politique servira ces citoyens afin de prendre le pouvoir. C’est ça un parti communiste, c’est le parti des travailleurs exploités par une minorité bourgeoise, c’est la majorité de la planète, humainement parlant.
L’ADQ, le PQ et le PLQ servent les intérêts de la minorité bourgeoise, ils ne servent pas nos intérêts de classe. Ce sont des mercenaires, tout simplement, et on les arrose bien en plus.
Faites changement et votez Québec-solidaire!
Sylvain Guillemette,
http://www.pcq.qc.ca/
http://reactionismwatch.wordpress.com/
Parti communiste du Québec,
Québec-solidaire.
Personne n’a vraiment tord ou raison, surtout pas moi.
Ce qui est important c’est l’échange des idées et vous tous le faite très bien.
Peu importe le choix des citoyens, on est tous dans le même bateau et on devra tous porter le chapeau de nos décisions ou indécisions.
La vie va continuer et la planète va tourné pendant encore un temps défini avant qu’on soit tous obligé de déménager, vous moi n’y seront plus depuis longtemps.
Jean-Pierre Plourde.
Je suis d’accord monsieur Plourd, mais je pense également à mon prochain, comme à mes enfants par exemple. C’est peut-être instinctif, mais j’aimerais bien que mon espèce, l’humanité, puisse passer à travers ces défis pour ensuite répandre son génie et et sa soif de savoir. Nous sommes un parasite pour la Terre certes, mais un parasite qui se contrôle, un parasite intelligent, un parasite qui peut progresser et socialement, vivre encore quelques milliers d’années de plus dans un monde bien différent de l’actuel. Un monde sans parasite, sans profiteur, sans exploitation. Un monde sans guerre internationale, sans dictature, sauf celle du prolétariat, donc du peuple qui travaille et se démène pour les autres entre autre.
Ce monde est possible, et il passe par les « soviets », des conseils populaires autrement dit, où les élus seront révocables en tout temps. Fini l’incompétence dite « collective », de quelque paresseux, dans le gouvernement actuel par exemple, si je peux me permettre le dossier de la santé (On aurait pu faire beaucoup plus!).
Le communisme est si mal connu que le peuple ne sait même pas que les soviets sont des conseils populaires, ce qui prouve donc l’impossibilité d’avoir des phénomènes (tueurs de masse) comme Joseph Staline. D’ailleurs, Staline a défait les soviets.
Alors oui monsieur Plourd, vous avez raison, de dire que je serai mort bien avant que ces changements aient eu lieu, mais sachant que tous mes faits et gestes changeront l’avenir de quelque façon que ce soit, ne devrais-je pas tenter ma chance à résoudre certains problèmes flagrants, à mes yeux, afin que l’humanité puisse en bénéficier?
Un jour, nous serons peut-être débarrassés de ces parasites minoritaires monsieur Plourd, mais ce ne sera pas sans que des efforts antérieurs aient eu lieu non plus.
Avez-vous des enfants monsieur Plourd?
Sylvain Guillemette,
père de deux merveilleuses petites filles.
S’endetter pour la santé? Ce cinéma produit par Michael MOORE s’attaque au dysfonctionnement de l’assurance-maladie aux Etats-Unis. Quel audace ! Celui de la France comparé à l’Amérique (Sicko contre Sarko) se discute bien. D’après les informations sont sur http://www.mutuelle.com car en France, la Sécurité sociale et l’Etat financent est à 76 % des dépenses de santé et 30% de mutuelle.